5 astuces pour survivre aux repas de fin d'année

  • Prendre soin de soi pour être heureux
  • 23 Décembre 2020
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Ca y est! Nous y sommes!

Le 25 décembre et ensuite , si rapproché, le 1er janvier!  Et là, c'est le drame!

Rien qu'à y penser tu te rends malade.

Entre tous ces plats riches en gras, en sucre et les risques de montées d'émotions intenses devant ta famille, tu n'as qu'une envie c'est d'hiberner au fond de ta tannière, juste pas envie d'y aller.

Et tu le sais, ca n'est pas la solution! Je t'apporte ici mes 5 astuces principales de gagnante pour survivre aux repas de fin d'année. Plus que de simples astuces, ces techniques puissantes te seront utiles pour tous les repas de l'année ;-)

Je tiens à présicer tout de suite, que ces astuces, ne doivent pas t'empêcher de faire un véritable travail de fond pour te libérer totalement de ton alimentation émotionnelle pour Noël 2021 :-)

 

Appelle- le comme tu veux, boulimie, craquages alimentaire, alimentation affective, émotionnelle ou hyperphagie, le fait est que manger te terrifie, tu as :

  • peur de prendre du poids
  • peur de devenir carrément incontrôlable
  • peur d'être obligée de finir toutes tes assiettes
  • peur de manger devant les autres, de supporter leur regard, leur jugement..

Comment passer les repas de fêtes de fin d'année sans trop manger, sans stress et surtout sans culpabilité?

 

Voici ma première astuce qui va te paraitre, tu vas vite le comprendre, contre-intuitive.

Et pourtant, il s'agit du fondement même de la Méthode S.Bulot, qui a accompagné plus de 600 femmes ces 8 dernières années, à se libérer de leur alimentation émotionnelle.

Astuce n°1 : Mange ! Et accepte de manger sans culpabilité

Si tu te mets déjà la pression en te disant:

-"je vais me restreindre ", "je ne vais pas manger"...tu vas forcément craquer.

Ton estomac n'est pas différent de celui de celles et ceux qui n'ont pas de rapport conflictuel avec la nourriture.

C'est juste que ces femmes, et ces hommes, qui mangent de tout et ne grossissent pas, vont naturellement s'écouter et faire un ou deux repas plus léger après les fêtes et sans culpabilité.

Pars avec l'idée en tête que tu es normal, comme les autres et autorise toi à manger.

Tu verras qu'en faisant cela, peu à peu tu vas t'enlever la pression.

 


La deuxième astuce fonctionne de paire avec la première.

Astuce n° 2 : Prends plaisir à manger .

Je t'entends déjà me dire, 

"Mais, moi Sylvie, je prends toujours plaisir à manger, et c'est bien ça mon problème!"

TOUJOURS? VRAIMENT? 

Ou, y a t'il bien des fois où du plaisir tu glisses vers le craquage en bon et dûe forme?

Ces moments où, après t'être déléctée d'une part de gâteau, ta culpabilité repartant de plus belle, foutu pour foutu, tu engloutis goulûment les 3 parts de gâteau restant. 

Je suis passée par là, je suis une grande gourmande et tu l'auras remarqué, je n'ai pas dit une grosse gourmande.

En corrélation logique avec la deuxième, voici ma troisième astuce, valable pour toute ta vie ;-).

Astuce n° 3 : Accepte d'être gourmande

  • Une grande gourmande ! Et j'insiste sur le mot grande. Pourquoi?

Les neuroscientifiques ont étudié l'impact des mots sur notre cerveau grâce à l'imagerie médicale.

Lorsque tu te dis "grosse gourmande", tu te juges, tu te fustiges, tu te fais du mal, en commencant par ton cerveau, mais pas que. Les mots que nous, prononcons ont un impact sur l'eau. Et tu le sais, nous sommes fait d'environ 70% d'eau . Donc en te disant des mots à connotations négatives tu modifies la structure cellulaire même de ton corps. Du fou !

Je te renvoie vers cette vidéo qui souligne ces propos.

https://www.youtube.com/watch?v=1mmyLSVhfgo

  • Et, dans cette astuce n°3  je souhaite aussi souligner qu'être gourmande est une qualité ma belle, eh oui! 

Les vrais gourmands ont compris que pour tirer du plaisir de leur alimentation , il faut avoir faim et ne pas gaspiller. Ils arrivent à soigner leur appétit et à se régaler avec peu. Ils savent que ce sont les premières bouchées qui ravissent leurs papilles.

Cela t'évoque certainement beaucoup, et tu te demandes certainement alors, pourquoi je n'y arrive plus? Pourquoi je "glisse" vers le foutu pour foutu? 

Parce que tu penses encore minceurs, régimes, privations, restrictions...Hors je te le dis souvent, les aliments interdits n'existe pas, ce qui existe c'est TA vision de ces aliments.  

Techniquement comment faire?

 

Ma quatrième astuce , le passage à l'action

Astuce n°4 : Ralentis !

Reconnecte toi à tes sensations, tes appétences. 

Pose ta fourchette après chaque bouchée, profite du goût, des textures dans ta bouche et profite de l'insatnt présent. Lorsque tu reprends ta fourchette, écoute ta faim, ta satiété, réeduque ton palais. 

C'est le début d'un apprentissage, et je trouve que les repas de fêtes se prêtent bien au jeu du "ralentir", on est moins stréssée que le soir à la maison après le travail, quand on mange vite fait!

C'est un réel travail de fond, te reconnecter tout d'abord avec tes sensations, ton corps, ta satiété, tes appétences. Apprendre à mieux se connaître est essentiel pour se libérer de l'alimentation émotionnelle et survivre aux repas de fin d'année. 

 

Pour ma cinquième astuce, je te permets de faire te rebelle.

Astuce n° 5 : Désobéis !

Fais péter le moule qui t'entoure ! Ah comme je l'aime ma punch line ;-)

Nous avons été élevé avec les petites phrases de nos parents

  • Finis ton assiette, de mon temps on en avait pas autant!
  • Bein quoi? Tu ne finis pas ton assiette, c'était pas bon ce que je t'ai cuisiné?
  • ............

Mais aujourd'hui, tu n'es plus un enfant et tu as le droit et le devoir de t'écouter et de désobéir.

Si tu sens que tu as déjà trop mangé, avec l'impression qu'un peu plus risque de te faire beaucoup de mal et que mamie te dis :

-"Tu ne finis pas ton assiette ma chérie? Ce n'étais pas bon? " ou " Pourtant c'est ton plat préféré"

Oui sauf que, toi, tu n'en peux plus! Alors avecn douceur et dermeté répond lui:

-"Mamie, c'était dé-li-cieux!! Mais là je n'en peux plus, j'ai l'impression que mon ventre va exploser! Tu ne veux pas que je souffre n,'est ce pas ? Mais que'est ce que c'est bon!"

Sur un ton enthousiaste, ludique et surtout sincère et sans plainte.

Dès le début du repas, prends le temps de dire à la maitresse de maison à quel point ses plats sont savoureux et que tu reconnais son savoir faire.

Cela fait le même effet que finir ton assiette ;-) Ton hôtesse a besoin d'être rassurée sur ce qu'elle t'a prépapré et sur ton bien être. 

Dis moi si tu as d'autres astuces à partager et si celles ci vont pouvoir t'aider.

Je te souhaites de très bons repas de fin d'année en toute sérénité.

Positivement

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